
Je ne tolère pas l’injure faite à la Sainte Vierge !
Face à l’affiche scandaleuse assimilant la Vierge à la GPA, se taire, c’est ouvrir la voie à des outrages toujours plus agressifs.
Un colloque sur la GPA, organisé par deux cercles émanants du CNRS, dans les locaux de l’université Panthéon-Paris-Assas, est annoncé par une affiche reproduisant le tableau de l’Annonciation peint par Fra Angelico.
La Sainte Vierge y est assimilée à une mère porteuse… afin de promouvoir un odieux trafic d’utérus et d’enfants.
Marie a conçu, porté, mis au monde, nourri, élevé et accompagné Son Divin Fils jusqu’à la Croix.
Assimiler la maternité de Marie à une forme moderne de prostitution est un détournement sacrilège, qui appelle une réaction immédiate de tous les chrétiens fidèles à l’honneur de leur Mère, donnée par Jésus.
ACTUALISATION : le président d’Assas reconnaît un “choix délibérément provocateur”, mais le CNRS persiste.

Mon interpellation à Mme Elisabeth Borne, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche et M. Antoine Petit, président directeur général du CNRS:
« Marie assimilée à une mère porteuse : NON ! »
Madame le Ministre, Monsieur le Président,
Le 10 juin prochain se tiendra, dans les locaux de l’université Paris-Panthéon-Assas, un colloque intitulé « Les nouvelles résistances à la gestation pour autrui », organisé à l’initiative de deux cercles émanant du CNRS.
Or, cet événement est annoncé par une affiche reproduisant le tableau de l’Annonciation peint par Fra Angelico.
Autrement dit, l’Incarnation de Jésus est assimilée à une GPA, et la Sainte Vierge à une mère porteuse.
Cette provocation choque profondément les catholiques. Marie a conçu, porté, mis au monde, nourri, élevé, et accompagné Son Divin Fils jusqu’à Sa mort sur la Croix. Assimiler sa maternité à une nouvelle forme de prostitution est intolérable.
La GPA, vous le savez, est une pratique barbare, qui consiste pour des femmes à louer leur utérus afin de porter un bébé qu’elles abandonneront à la naissance.
Dans de nombreux pays du tiers monde, comme l’Inde ou le Mexique, cette pratique engendre l’exploitation de femmes démunies, réduites à une forme d’esclavage pendant toute leur grossesse. Quant à l’enfant, il est délibérément privé de sa mère et traité comme une marchandise. C’est une atteinte manifeste à la dignité humaine.
Madame la Ministre, Monsieur le Président, un organisme public prestigieux comme le CNRS, financé par les impôts des Français, ne devrait en aucun cas permettre qu’une foi respectée par des millions de citoyens soit ainsi publiquement insultée.
Je vous demande donc d’intervenir immédiatement pour le retrait de ces affiches et la présentation d’excuses publiques auprès des Français légitimement offensés.
Veuillez recevoir, Madame la Ministre, Monsieur le Président, l’expression de ma haute et vigilante considération.